Aucun choix cornélien ne se pose devant cette version recentrée de ce chef-d’œuvre : la mise en scène de Frédérique Lazarini fait entendre avec force la passion contrariée entre Chimène et Rodrigue.
LireDans la mise en scène virevoltante d’Olivier Solivérès, entouré d’une bande de jeunes brillants, Stéphane Freiss incarne le professeur Keating du Cercle des poètes disparus pour la première adaptation du film au théâtre.
LireAutour de morceaux choisis de livres qu’il affectionne, le comédien nous offre un instant précieux de théâtre doublé d'une belle leçon de vie.
LireC'est l'un des grands mythes de l’histoire du théâtre. Créée en 1956, remontée en 1967 avec Michel Bouquet, dans le rôle-titre, cette comédie grinçante signée Anouilh revient enfin sur le devant de la scène.
LireAu Théâtre Lepic, l'artiste, aux nombreux talents, en passe de devenir notre Woody Allen national, régale les zygomatiques avec sa nouvelle comédie, C'est pas facile d'être heureux quand on va mal.
LireAvec son spectacle Pourquoi mon père ne m’a pas appris l’arabe ?, la jeune autrice-metteuse en scène franco-marocaine évoque, dans une autofiction rondement menée, l’intrusion du politique dans la sphère de l’intime et ses bouleversements.
LireDans Rossignol à la langue pourrie, la comédienne, mise en scène par Guy-Pierre Couleau fait merveilleusement entendre les mots du poète de Montmartre, chantre des petits Poulbots, du populo, gens de la rue et de la misère.
LireConnu pour son sens de la vis comica, il montre l'étendue de son jeu dans Je m’appelle Asher Lev aux Béliers et signe avec Arthur Jugnot la comédie musicale Denver, le dernier dinosaure à la Renaissance.
LireAu Théâtre de Belleville, le metteur en scène, ancien co-directeur du théâtre 13 avec Colette Nucci, porte au plateau, de manière chorale, Ceux qui se sont évaporés.
LireDepuis maintenant plus de douze ans, tel le Beaujolais nouveau, le dernier cru de ce conteur sans pareil est attendu. Alors à la question : comment est-il ? La réponse est : un excellent millésime !
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