Avec son spectacle Pourquoi mon père ne m’a pas appris l’arabe ?, la jeune autrice-metteuse en scène franco-marocaine évoque, dans une autofiction rondement menée, l’intrusion du politique dans la sphère de l’intime et ses bouleversements.
LireDans Rossignol à la langue pourrie, la comédienne, mise en scène par Guy-Pierre Couleau fait merveilleusement entendre les mots du poète de Montmartre, chantre des petits Poulbots, du populo, gens de la rue et de la misère.
LireConnu pour son sens de la vis comica, il montre l'étendue de son jeu dans Je m’appelle Asher Lev aux Béliers et signe avec Arthur Jugnot la comédie musicale Denver, le dernier dinosaure à la Renaissance.
LireAu Théâtre de Belleville, le metteur en scène, ancien co-directeur du théâtre 13 avec Colette Nucci, porte au plateau, de manière chorale, Ceux qui se sont évaporés.
LireDepuis maintenant plus de douze ans, tel le Beaujolais nouveau, le dernier cru de ce conteur sans pareil est attendu. Alors à la question : comment est-il ? La réponse est : un excellent millésime !
LireÀ la demande de l’administrateur du Français, Eric Ruf, Justine Heynemann met en scène et adapte avec sa complice Rachel Arditi, la célèbre bande dessinée de Pénélope Bagieu.
LireÀ Bonlieu, scène nationale d’Annecy, la Cie Brozzoni propose une admirable et très sensible « symphonie poétique, musicale et sonore » autour de L’homme qui plantait des arbres de Jean Giono. Tel un regain, la nature sauvera le monde.
LireAu Poche Montparnasse, dans une mise en scène remarquable de Nicolas Briançon, Christophe Barbier fait revivre Les Diaboliques de Barbey d'Aurevilly.
LireRetenez bien le nom de Sébastien Kheroufi. Avec sa première mise en scène, il fait merveilleusement résonner les mots de Peter Handke et rappelle qu’il faut toujours écouter les poètes.
LireThierry Harcourt met en scène avec une belle créativité ce grand classique du théâtre de l’absurde, donnant ainsi à Frédérique Tirmont et Bernard Crombey deux rôles en or.
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