À la Manufacture à Avignon avant d’investir en janvier le TNS, Sultan Ulutas Alopé parle "La Langue de mon père".
Taillé sur mesure par Sylvain Creuzevault pour les élèves du TNS à partir de l'épopée de Peter Weiss, «L'Esthétique de la Résistance» est une réussite ample et passionnante, une réflexion riche sur l'histoire à travers l'art, et vice-versa. Après sa création à Strasbourg, la pièce s'apprête à partir en tournée. Halte prévue le mois prochain au Printemps des comédiens, puis à la rentrée au Festival d'Automne.
Un atelier de jeu au masque et une carte blanche autour de la figure de Valérie Solanas : l'école du TNS montre le travail de ses élèves.
Au TNS, Natalie Dessay joue dans Un pas de chat sauvage de Marie Ndiaye, dans une mise en scène de Blandine Savetier.
éée à la Comédie de Reims, avant d’investir le TNS, la nouvelle création de Pascal Kirsch évoque les tourments de l’âme de Francis Bacon.
Au TNS, un an après la création à l'Odéon, Chloé Réjon reprend «Comme tu me veux» de Pirandello, mis en scène par Stéphane Braunschweig.
L’adresse à Falk Richter, raccourci à son seul prénom tout au long de la pièce, inscrit d’emblée Un sentiment de vie dans un cadre précis. Claudine Galea, autrice associée au TNS, entame l’écriture sur commande de Frédéric Vossier, directeur éditorial de la revue Parages, pour son cinquième numéro, dédié à l’auteur allemand. Le texte est mis en scène une première fois par Jean-Michel Rabeux, avec Claude Degliame, au Théâtre de
À la MC93, Mélody Pini, sortie en 2019 de l’école du TNS, reprend Ce qu'il faut dire de Léonora Miano, mis en scène par Stanislas Nordey.
Au TNS, Anne Monfort s’empare de Nostalgie 2175 conte d’anticipation sur fond de catastrophe écologique de la romancière allemande Anja Hilling.
Au Théâtre Gérard Philipe – Centre dramatique national de Saint-Denis, Anne Brochet présente son premier seul-en-scène, Odile et l'eau.