Avec les étudiants en théâtre de la Manufacture – Haute École des arts de la scène de Lausanne, Fanny de Chaillé plonge dans les archives du festival et en revisite avec humour et fantaisie ses grands moments.
À Avignon, l'Argentine Lola Arias nous immerge au plus près des désirs et des rêves d'un groupe d'ex-détenues cis et trans qui, après avoir vécu l’enfermement, ont fait le choix de la liberté et de la joie.
Le metteur en scène, qui a enchanté les spectateurs lors du dernier Festival d’Avignon par sa folle version du "Songe", se confronte, pour cette édition dédiée à la langue espagnole, à l'œuvre de Cervantès. Entretien dans les murs de la Maison Jean Vilar, à Avignon.
Au Festival d’Avignon, la nouvelle directrice du TnBA, invite, dans "Avignon, une école", les étudiantes et étudiants en théâtre de la Manufacture - Haute École des arts de la scène de Lausanne à plonger dans son histoire et à en tisser des récits à l’aune de leur propre expérience.
La deuxième semaine du festival montpelliérain fait la part belle aux épopées absurdes, aux soirées interlopes et aux fables tragicomiques sur les ravages de la guerre.
À la recherche de la voix de sa grand-mère, l'artiste queer invite le public à se mettre à l'écoute du Laos de ses origines dans une performance intimiste et touchante.
Après avoir évoqué sa transition dans “Pour un temps sois peu”, l’artiste non-binaire plonge, avec “Je vis dans une maison qui n'existe pas”, au plus profond de la psyché et porte au plateau, dans un conte contemporain, le récit d’un personnage neuroatypique.
En adaptant Débris de Dennis Kelly, Julie Teuf déploie son plateau comme une grande boîte à jouets pour accueillir le malheureux destin de deux orphelins.
Pour sa dernière création en tant que directrice du TnBA, Catherine Marnas s'empare du "Rouge et le noir" de Stendhal.
Au Préau de Vire, Teresa Continho prête ses traits à une Clytemnestre tout feu tout flamme dans l'Orestie au temps présent de Gurshad Shaheman.