Au Théâtre La Reine Blanche, la comédienne et metteuse en scène Clémentine Billy présente son premier spectacle en tant qu’autrice. Des premiers pas riches de promesses.
En transformant la petite scène du Théâtre La Flèche en un véritable Stade de France, et sans jamais tomber dans l’hagiographie, le comédien s’interroge sur qui était vraiment Johnny Hallyday. Il développe une réflexion aussi drôle que respectueuse sur le rapport à la célébrité et à l’idolâtrie.
C’est à Brest, à Océanopolis (Centre de culture scientifique consacré à l’Océan) où David Wahl est auteur associé, en partenariat avec Le Quartz, que l’artiste a présenté sa nouvelle causerie. Celle-ci s’installera ensuite au Palais de la porte Dorée, où se situe l’Aquarium tropical de Paris.
Écrite et mise en scène par Carlotta Clerici, cette pièce, interprétée finement par Thomas Le Douarec et Caroline Devismes, explore ce flou qui subsiste entre deux amants terribles qui ont mis fin à leur relation, mais pas à leur désir de l’autre.
Après une belle escale théâtrale dans Le Montespan de Jean Teulé, mis en scène par Salomé Villiers, le comédien revient au Théâtre de l’Œuvre dans un seul-en-scène de haute volée.
Au Théâtre La Flèche, le vendredi, car il ne pouvait en être autrement, Nicolas Verdier présente sa première création, librement inspirée du Robinson Crusoé de Daniel Defoe.
Au Théâtre Lepic, un ovni théâtral aux allures faussement potaches, conduit par une bande de jeunes à l’avenir prometteur, annonce la fin du monde. Avant que le ciel nous tombe sur la tête, un seul remède : le rire.
La comédienne s’empare d’une manière très intime du texte de l’américaine Claudia Shear, Blown Sideways Through Life, qui a connu un immense succès à Broadway en 1994. Trente ans plus tard, transposé en France, les propos biographiques racontés dans cette histoire demeurent très actuels.
Avant de clore sa 25e édition, le festival actoral présentait la création du duo de performeurs au Théâtre des Bernardines à Marseille. Une plongée curieuse et joyeuse dans l’univers foutraque de ces deux artistes.
Dans ce spectacle de toute beauté, mis en scène par Guy Cassiers, Jean-René Lemoine délivre la mémoire de sa mère, figure essentielle, pour faire face à la fragilité et la violence du monde.
Au Théâtre Montparnasse, le duo très attendu de cette rentrée théâtrale, Pierre Arditi et Nicolas Briançon, fait salle comble, récoltant chaque soir une standing ovation.
Au ThéâtredelaCité à Toulouse, le metteur en scène s’empare de la pièce phare de Shakespeare et cherche à en proposer une lecture contemporaine qui peine à surpasser l’ironie.
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