Le metteur en scène à la tête du CDN de Toulouse renoue avec son auteur fétiche et ami pour son nouveau spectacle intitulé Illusions.
Dernière pièce du Tanztheater de Wuppertal présentée au Théâtre de la Ville du vivant de la chorégraphe allemande en 2009, Sweet Mambo revient à Paris jusqu’au 7 mai dans une version remontée à la demande de Boris Charmatz, nouveau directeur de la compagnie.
Dans sa dernière pièce créée à la Quinzaine de la danse à la Filature à Mulhouse, Simon Feltz cible son exploration des liens entre langage verbal et langage corporel sur la rencontre amoureuse. Une chorégraphie polyphonique.
Avec La Criée, le Collectif 49701 a investi la Cité des arts de la rue à Marseille pour y présenter la troisième saison d’une série théâtrale qui parcourt la France depuis plus de dix ans.
Au théâtre du Gymnase, la comédie musicale d’Hervé Devolder et Milena Marinelli, menée par une troupe endiablée, possède tous les bons ingrédients pour égayer les esprits et enchanter le moral.
En invitant sept jeunes interprètes à danser les “trends” éphémères de TikTok au Pavillon ADC de Genève, la chorégraphe Anna Marija Adomaityte fait le choix minimal d'un ready-made à l'honneur de la créativité adolescente.
Après quatre ans d’absence, la divine comédienne revient au théâtre avec "La Blessure et la soif" de Laurence Plazenet, dans une mise en scène soignée de Catherine Schaub.
Au Théâtre de la Reine Blanche, Élisabeth Bouchaud poursuit le feuilleton théâtral des "Fabuleuses", autour de femmes scientifiques qui ont changé la face du monde et que la société patriarcale a voulu jeter dans l'oubli. Ce deuxième volet met en lumière l’astrophysicienne Jocelyne Bell.
Après avoir évoqué sa transition dans “Pour un temps sois peu”, l’artiste non-binaire plonge, avec “Je vis dans une maison qui n'existe pas”, au plus profond de la psyché et porte au plateau, dans un conte contemporain, le récit d’un personnage neuroatypique.
Invitée par le Théâtre Public de Montreuil dans le cadre de son deuxième « Quartiers d'artiste », Eva Doumbia a repris le spectacle, présenté à Avignon en 2021, qui révèle la dimension coloniale de notre alimentation.