À l’Artéphile, Élise Noiraud met pudiquement en scène un texte écrit par Clotilde Cavaroc autour de la délicate question de l’accompagnement sexuel des personnes handicapées.
En s’emparant du texte de Ronan Chéneau, Steeve Brunet propose un spectacle immersif dans une salle du Tribunal judiciaire d’Avignon. Il donne à voir de près les rouages de la justice.
Elles sont les grandes oubliées des manuels d’histoire, les évincées de la mémoire collective. Résistantes et combattantes de la Seconde Guerre mondiale, elles sont enfin à l’honneur dans ce formidable spectacle qui met en lumière ces ambulancières volontaires.
En adaptant le roman de Sedef Ecer, Victoire Berger-Perrin signe un spectacle émouvant, tout en glissements doux-amers, où se mêlent la mémoire d’une femme, les silences d’une fille et les blessures d’un pays qui vacille entre liberté et contrôle.
Tandis que les mots de son capitaine résonnaient au pied du Palais des Papes à l’occasion de la nouvelle déclaration d’Avignon en soutien au peuple palestinien, le Théâtre du Radeau jouait sa dernière pièce au gymnase du lycée Mistral.
Emprutant au drag et au cabaret, Lucas Borzykowski met en scène (et en musique) une figure oubliée de la mythologie grecque. Une triple performance saisissante qui plafonne un peu.
Dans ce théâtre vagabond, présenté partout dans le grand Avignon, Milo Rau donne un coup de projecteurs à deux personnalités attachantes. Une rencontre réjouissante mais qui laisse un goût d'inachevé.
Au théâtre du Balcon, dans le cadre du Festival Off Avignon, Isabelle Starkier met en scène avec intelligence la formidable adaptation contemporaine et musicale, entièrement ubuesque, de Mohamed Kacimi.
Dans le cadre du Festival Off Avignon, la Sélection suisse investit La Manufacture avec un seule-en-scène aussi attendrissant que nécessaire, autour d’une question sociale et politique.
Au Théâtre de l’Oulle de La Factory, dans le cadre du Festival Off Avignon, Frédéric Cherbœuf signe une mise en scène originale et vivifiante de ce beau classique.
Le duo Jonas&Lander investit le bar du Mahabharata avec un impromptu queer, terriblement drôle et inventif. Un coup de cœur qui se paie monnaie sonnante et trébuchante.
Au Festival d’Avignon, l’artiste aux multiples casquettes investit le gymnase du lycée Aubanel avec une comédie musicale sans égal. Il y porte un regard inédit sur notre ère, au gré d’une fresque aussi subtile que nébuleuse.
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