À la Comédie de Colmar, avant d'investir le Théâtre de l'Union, le TGP et la Comédie De Reims, Émilie Capliez, porte au plateau Des Femmes qui nagent de Pauline Peyrade.
Au CDN de Besançon, avant de poser ses valises dans la petite salle de l'Athénée, Dea Liane esquisse le portrait d'Asmahan, diva égyptienne disparue depuis longtemps.
Au théâtre Montparnasse, Christophe Lidon met en scène "Albert et Charlie" d'Olivier Dutaillis, avec Daniel Russo et Jean-Pierre Lorit.
Le théâtre Nanterre-Amandiers, en partenariat avec la MC93, accueille « France-fantôme ». Science-fictionnelle et jusqu'au-boutiste, cette pièce, créée en 2017, déplace le spectateur en le mettant face à un futur possible, sans visages.
L'Othello de Shakespeare, mis en scène par Jean-François Sivadier, est sublimé par le duo Nicolas Bouchaud - Adama Diop.
Au théâtre de l'Épée de Bois, Bernard Sobel, épaulé par Michèle Raoul Davis, présente sa mise en scène de La Mort d'Empédocle, troisième version de la tragédie d'Hölderlin. Une pièce subtile et habitée, du théâtre de haute volée.
Au CCN de Tours, avant d’investir le studio de Micadanses, dans le cadre du festival Faits d’hiver, Thomas Lebrun se nourrit des mots, des pensées de Duras pour esquisser portraits en creux d’une femme aux mille facettes et d’un artiste libre.
Au Théâtre national de Bretagne, puis aux Bouffes du Nord, Pascal Rambert présente deux monologues Perdre son sac et Ranger. L'un est écrit pour Lina Khoudri, l'autre Jacques Weber.
Au théâtre Rive Gauche, Madame Ming, l'excellente adaptation et mise en scène de Xavier Lemaire, du roman d'Eric-Emmanuel Schmitt.
Au théâtre de l’Atelier, le texte de Samuel Beckett, Fin de partie, mis en scène par Jacques Osinski, prend des résonances terriblement moderne.