Au Théâtre des Capucins, dans le cadre du Focus adolescence generati#n·s des Théâtres de la Ville de Luxembourg, Anne Simon et Antoine Pohu réinventent la tragédie enfantine du dramaturge allemand.
S’emparant des codes du vaudeville, Bertrand Marcos fait tomber les masques de deux couples de bobos jusqu’à la fin de leurs illusions.
Pour fêter les dix ans de sa compagnie Illicite, le chorégraphe basé à Bayonne livre une version habile et pleine de trouvailles d’un blockbuster du répertoire classique.
Au Bouffon Théâtre, Sébastien Ventura croque avec gourmandise les membres d’une famille au bord de l’implosion. Une fresque tragi-comique où se joue l’effacement d’un fils homosexuel.
Marie Torreton porte avec une grandeur d’âme remarquable les récits de la résistante sur ses longs mois passés dans les camps de concentration où sans la solidarité de la sororité et la présence, coûte que coûte de l’art, la survie n’aurait été possible.
Au TU de Nantes, avant d'investir le T2G, Magrit Coulon et Bogdan Kikena invitent à une balade dans la mémoire d'ue européenne ruinée, au travers de la vie quotidienne et banale des gardien·ne·s.
Présenté à Strasbourg et à La Filature de Mulhouse, dans le cadre de la Quinzaine de la danse, ce programme composé de trois pièces créées entre 1989 et 1996 restera comme le meilleur moment de cette saison 2024-2025.
À l’Athénée Théâtre Louis Jouvet, Valérie Lesort s’empare de la « Féérie lyrique » d’Arthur Bernède et Paul de Choudens, inspirée par l’œuvre du fabuliste français, parue en 1913 et mise en musique par Félix Fourdain. Réjouissant !
Pour leur nouvelle création, Louis Arene et Lionel Lingelser s’attaquent à l’œuvre maudite de Shakespeare, l’embarquent dans leur univers fantasmagorique et en livrent une adaptation survoltée, généreuse autant qu'excessive.
Yann Dacosta imagine un face-à-face pédagogique pour faire du récit autobiographique de Brahim Naït-Balk un support de sensibilisation. Un théâtre dépouillé dont la violence est un fil conducteur.