"Vive le sujet", dernière session : la chorégraphe Rebecca Journo opère sa métamorphose en cigale dans une courte performance déjantée et travaillée.
La metteuse en scène péruvienne réunit des acteurs dans différentes situations de cécité autour d'une adaptation de "La Mouette" parfois convenue, mais néanmoins émouvante.
Pour sa première participation au Festival d’Avignon, le chorégraphe à la tête du CNDC d’Angers affiche en gros plan les gestes de ses danseurs et démultiplie les mouvements sur des airs de Bach.
On doit l’une des pépites de cette dernière semaine du Festival d’Avignon au metteur en scène uruguayen, avec cette pièce sans prétention brillamment portée par l’acteur catalan Joan Carreras.
Le grand metteur en scène polonais s'empare du personnage-clé de J. M. Coetzee dans une pièce philosophique mystérieuse et fascinante, vectrice d'un certain vertige formel.
Révélation de cette 78e édition du Festival d’Avignon, l’artiste chilien invite à plonger dans son quotidien, de son enfance à aujourd’hui, au sein d'un pays en crise permanente.
Au Festival d’Avignon, la chorégraphe britannique Yinka Esi Grave brûle les planches en redonnant de la visibilité aux artistes africains qui ont marqué les débuts de cet art andalou.
À l’initiative du Festival d’Avignon et du Wiener Festwochen, le metteur en scène argentin se voit confier la “Pièce commune” de cette édition à destination de l’itinérance.
Pour sa première fois en France, l'artiste chilien présente "Reminiscencia", excursion archéologique menée à la souris dans les rues dématérialisées de Santiago.
Disséquant jusqu’à l’os la procédure de comparution immédiate, Lorraine de Sagazan et Guillaume Poix esquissent la fable noire et fantastique d’un système pénal et judiciaire qui a perdu toute humanité.