Mohamed El Khatib et Israel Galván entremêlent sur scène leurs histoires familiales, leurs blessures intimes, et mettent à nu leur rapport conflictuel avec la figure paternelle.
À la Chartreuse de Villeneuve-lez-Avignon, dans le cadre du Festival d’Avignon, Émilie Rousset explore les zones de friction entre droit et intimité à travers une succession d’entretiens reproduits in extenso.
Deux ans après y avoir présenté Que ma joie demeure à l’aube, la metteuse en scène refait l’expérience in situ au Festival d’Avignon, en partenariat avec le Festival Villeneuve en Scène.
Avec une fresque vivante et poétique d’une rare beauté, l’artiste albanais de 26 ans illumine le Festival d’Avignon et signe une déclaration d’amour silencieuse à toutes les femmes qui ont fait de nous ce que nous sommes.
Entre cris du cœur et pulsations du corps, la première soirée de Rainbow Day & Night a lancé les festivités avec une intensité brûlante. Porté par La Magnanerie et le Théâtre du Train Bleu, l’événement mêle luttes, fiertés et célébrations dans une même respiration.
Tandis que les mots de son capitaine résonnaient au pied du Palais des Papes à l’occasion de la nouvelle déclaration d’Avignon en soutien au peuple palestinien, le Théâtre du Radeau jouait sa dernière pièce au gymnase du lycée Mistral.
Dans ce théâtre vagabond, présenté partout dans le grand Avignon, Milo Rau donne un coup de projecteurs à deux personnalités attachantes. Une rencontre réjouissante mais qui laisse un goût d'inachevé.
À la folie, pas du tout. Mette Ingvartsen convoque la nuit de tous les dangers et de toutes les perditions, dans la cour du lycée Saint-Joseph à Avignon. Et elle s’y perd dans un vertige sans retour.
Le duo Jonas&Lander investit le bar du Mahabharata avec un impromptu queer, terriblement drôle et inventif. Un coup de cœur qui se paie monnaie sonnante et trébuchante.
Au Festival d’Avignon, l’artiste aux multiples casquettes investit le gymnase du lycée Aubanel avec une comédie musicale sans égal. Il y porte un regard inédit sur notre ère, au gré d’une fresque aussi subtile que nébuleuse.
À l'Autre Scène de Vedène, le directeur du Festival d'Avignon signe un texte étourdissant de maîtrise. Un récit de science fiction dont la portée s'avère universelle.
À Avignon dans le Cloître des Célestins, le chorégraphe bruxellois d'origine marocaine Radouan Mriziga égraine un geste artistique d'une grande poésie. Une transe collective qui mérite bien qu'on lui accorde sa propre temporalité.
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