Au CDN de Sartrouville, dans le cadre du festival Impatiences, le collectif Mind The Gap dévoile J'aurais mieux fait d'utiliser une hache, une déconstruction théâtrale et ludique des films d'épouvante.
Avec Derrière le hublot se cache parfois du linge, le collectif Les Filles de Simone parcourt, avec esprit et drôlerie, cette contrée accidentée qu’est la vie en couple.
Au TNP de Villeurbanne, avant de brandir leurs poings aux Gémeaux à Sceaux, au Théâtre de la Ville à Paris ou au TGP à Saint-Denis, Alice Carré à l’écriture, et Margaux Ezkenazi, à la mise en scène, présentent 1983, leur nouvelle création.
Aux Célestins, avant de s’installer pour trois semaines en janvier à l’Athénée à Paris, Clément Hervieu-Léger porte au plateau avec une infinie délicatesse, Un Mois à la campagne, la plus célèbre œuvre de Tourgueniev.
À la Scala-Paris, Léna Paugam, à la mise en scène, Philippe Pierre Brosolette et Ariane Ascaride, au jeu, maintiennent la flamme féministe de Giséle Halimi.
Au théâtre des 13 vents, Nathalie Garraud et Oliver Saccomano initient avec Institut Ophélie, second volet d’un diptyque consacré à deux figures emblématiques shakespeariennes, une réflexion sur le statut des femmes à travers les âges.
Au TnBA, dont il est artiste compagnon, avant une belle tournée à travers la France, Baptiste Amann continue à explorer les relations humaines.
Au Studio Hébertot, avec Deux Mains la liberté, Antoine Nouel rend hommage au Docteur Kersten.
Avec Glenn Gould, naissance d'un prodige, Ivan Calderac nous convie à découvrir la vie du grand pianiste canadien. Une pièce magnifique à découvrir au Petit Montparnasse.
Au théâtre Isle 80, avant d'atterrir à l'Essaïon à Paris, la Compagnie des Ames libre s'empare avec talent d'Une vie de Maupassant.