Aux Inaccoutumés de la Ménagerie de verre, la danseuse Sati Veyrunes se glisse dans les pas de la chorégraphe irlandaise et touche en plein cœur.
Dans le cadre du Festival Les Inaccoutumés de la Ménagerie de Verre, le danseur et chorégraphe, formé à P.A.R.T.S, présente une pièce introspective, où il met son corps et son âme à nu.
Poursuivant son aventure avec le Festival d'Avignon, le metteur en scène expérimentateur s'empare librement du classique de Cervantès avec une distribution haut de gamme, dans une adaptation fragile.
Au Festival d'Avignon, l'artiste varsovienne orchestre les voix d'un chœur de femmes ukrainiennes, biélorusses et polonaises touchées par la guerre dans un spectacle musical qui donne une forme à l'urgence.
Dirigés avec tendresse par Mohamed El Khatib, quatre délicieuses mamies et deux avenants papis narrent, sans tabou et avec un malin plaisir, leurs frasques à l’Ephad.
À Avignon, l'Argentine Lola Arias nous immerge au plus près des désirs et des rêves d'un groupe d'ex-détenues cis et trans qui, après avoir vécu l’enfermement, ont fait le choix de la liberté et de la joie.
Au Festival d’Avignon, l’artiste à la tête du Théâtre National de Strasbourg présente sa dernière pièce à la rencontre de celles et ceux qui font de la haute-couture un art.
Artiste fidèle du festival Montpellier Danse, le chorégraphe iranien y donne naissance cette année à sa dernière création, un délicat geste de liberté inspiré des célèbres contes persans.
Dix ans après sa création au Petit-Saint-Martin, Côme de Bellescize monte, dans une version remise au goût du jour, la pièce à succès de Léonore Confino et offre au duo de comédiens un bijou scénique de drôlerie et d’émotions.
En ouverture du Festival d’Avignon, la sulfureuse espagnole fait honneur à sa réputation. Dans ces funérailles bergmaniennes, elle confesse ses angoisses, réveille ses fantômes et n'épargne personne, quitte à frôler l’autocaricature.