Place Colette, sous la direction de Julie Deliquet, le comédien se glisse à nouveau dans la peau de Molière, fait revivre la troupe de l'Illustre Théâtre et invite à une balade au coeur de la création. Entré comme pensionnaire en 2019 au Français, il habite le plateau de sa présence charismatique, de son jeu tellurique.
LireAu Petit-Saint-Martin, Catherine Hiegel donne corps et humour décalé au Music-Hall de Lagarce, sous le regard bienveillant de Marcial Di Fonzo Bo.
LireAu Liberté à Toulon, où le spectacle a été créé, Ludivine Sagnier donne corps au Consentement, ouvrage autobiographique de l’écrivaine française, Vanessa Springora.
LireAux Bouffes du Nord, Tiago Rodrigues présente Catarina ou la beauté de tuer des fascistes, une dystopie prophétique qui résonne amèrement en ces jours noirs qui voient, dans plusieurs pays européens, les partis extrémistes aux portes du pouvoir.
LireÀ la Colline, Anouk Grinberg donne corps à vingt-cinq « écrits bruts » issus notamment de Et pourquoi moi, je dois parler comme toi ? , recueil de textes éditée en 2020.
LireÀ la maison de Culture de Nevers qu’il dirige depuis 2016, l’enfant facétieux du pays s’amuse à brouiller les pistes, à passer du théâtre classique à des formes plus irrévérencieuses, moins policées. En s’attaquant au Chevalier et la dame du dramaturge italien, il plonge avec délice dans la Venise du XVIIIe siècle et invite à découvrir une
LireÀ l'Atelier, de grands noms du cinéma, du théâtre et de la musique, se donnent tour à tout rendez-vous pour faire entendre le texte féministe de Mona Chollet.
LireDans le cadre de la saison France-Portugal, Catherine Marnas et Nuno Cardoso, directeur du Teatro Nacional São João de Porto, portent au plateau une autre tragédie des Atrides, celle des victimes, des perdants.
LireÀ la MC93, Marie-Christine Soma porte au plateau la dernière nouvelle de 7, roman d’anticipation de Tristan Garcia. Avec habilité, elle signe un seul-en-scène haletant que porte avec maestria le solaire Pierre François Garel.
LireÀ l’affiche de l’Odéon, dans Jours de joie d’Arne Lygre, avant de reprendre la tournée de Comme tu me veux de Pirandello, Chloé Réjon trace sa route à son rythme, entre art, émotion et passion.
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