Dans sa nouvelle création labellisée Paris 2024 dans le cadre de l’Olympiade Culturelle, l’auteur et metteur en scène questionne la mémoire imprimée dans nos muscles, qui parfois pousse à nous dépasser.
Au Théâtre Lepic, l'artiste, aux nombreux talents, en passe de devenir notre Woody Allen national, régale les zygomatiques avec sa nouvelle comédie, C'est pas facile d'être heureux quand on va mal.
Une fois de plus dirigés au cordeau, les comédiens du Français se font muets pour exprimer les non-dits et rendre un hommage vibrant au cinéma d’Antonioni.
Au TNS pour sa première en France, la jeune artiste du NTGent confronte la métaphysique occidentale à son héritage culturel sierra-léonais.
Depuis maintenant plus de douze ans, tel le Beaujolais nouveau, le dernier cru de ce conteur sans pareil est attendu. Alors à la question : comment est-il ? La réponse est : un excellent millésime !
Après une première française à L’Arsenal-Cité Musicale de Metz, la pièce de Sarah Baltzinger clôture la 26e édition du festival Faits d’hiver. Cinq interprètes féminines se lancent dans une chorégraphie troublante qui dissèque les injonctions faites aux femmes.
À Bonlieu, scène nationale d’Annecy, la Cie Brozzoni propose une admirable et très sensible « symphonie poétique, musicale et sonore » autour de L’homme qui plantait des arbres de Jean Giono. Tel un regain, la nature sauvera le monde.
Retenez bien le nom de Sébastien Kheroufi. Avec sa première mise en scène, il fait merveilleusement résonner les mots de Peter Handke et rappelle qu’il faut toujours écouter les poètes.
Lauréate du Prix jury et public du Festival Impatience en 2017, la première pièce du collectif Les Bâtards dorés revient sur le devant de la scène Aux Célestins – Théâtre de Lyon. Quelle claque !
Dans son dernier spectacle, récemment à l’affiche du Théâtre Public de Montreuil et actuellement en tournée, la danseuse et chorégraphe s’inspire du roman de W.G. Sebald pour laisser les souvenirs remonter à la surface.