À la Scène nationale Châteauvallon-Liberté, Claire Nebout donne corps à la plus célèbre des peintres mexicaines, sous le regard insolite de Karelle Prugnaud.
Mise en scène avec une très belle délicatesse par Raphaëlle Cambray, L’odeur des Azalées, suffocante, de Sophie Cottin esquisse deux beaux portraits de femmes.
Avec Dans la fumée des joints de ma mère, Christine Citti à l’écriture, Jean-louis Martinelli, à la mise en scène, imagine, au TGP, une dystopie sociale sous exta.