À la Reine Blanche, le comédien poursuit son exploration de la masculinité en démontant, avec beaucoup d’humour, les mécanismes de la virilité, rendant au pénis sa véritable dimension.
Dans son admirable spectacle saisi par la force de ses propos et de son interprétation, l’autrice et metteuse en scène interroge le passé d’Irène Kalder, qui fut un temps secrétaire d’Oskar Schindler et ensuite la fiancée d’Amon Göth, le boucher de Płaszów.
Au Théâtre de la Reine Blanche, Élisabeth Bouchaud poursuit le feuilleton théâtral des "Fabuleuses", autour de femmes scientifiques qui ont changé la face du monde et que la société patriarcale a voulu jeter dans l'oubli. Ce deuxième volet met en lumière l’astrophysicienne Jocelyne Bell.
Miguel-Ange Sarmiento délivre, dans son bouleversant spectacle, un message d’amour à son frère ainé parti trop tôt. Comment se construire quand l’absence crée un manque incommensurable ?
La comédienne tourangelle raconte l'expérience d’une jeune fille prise dans les filets d’un homme aux apparences ordinaires, rappelant que les histoires d’amour cachent des réalités pas toujours belles à subir.
En adaptant pour la scène son livre Je ne chante pas je chante, la musicienne nous offre un petit bijou perlé d’émotion, histoire de résilience en même temps qu'une ode à l’éducation artistique, à l’école publique et à la transmission.
Aux Plateaux Sauvages, les deux artistes à la tête de la cie Toujours après minuit font danser les mots de Marie Dilasser et invitent à un pas de deux féminin amoureux plein de tendresse.
En adaptant pour le théâtre le film de Terry Gilliam, Axel Drhey nous fait redécouvrir toute la beauté de cette œuvre et propose une belle aventure théâtrale.
Dans Rossignol à la langue pourrie, la comédienne, mise en scène par Guy-Pierre Couleau fait merveilleusement entendre les mots du poète de Montmartre, chantre des petits Poulbots, du populo, gens de la rue et de la misère.
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