A la Scala de Paris, dans Respire de Sophie Maurer, Roman Bohringer fait retentir un ode à la vie.
Aux Plateaux Sauvages, Vanasay Khamphommala convoque la nymphe Écho et poursuit l’exploration des mythes antiques à l’aune de sa propre histoire.
Au Théâtre de la Reine Blanche, Sabine Pakora présente La Freak et rappelle non sans humour que noire n’est pas un emploi.
Au théâtre du Rond-point, où il a ses habitudes depuis plus d’une vingtaine d’années, Pippo Delbono, tout de blanc vêtu, traîne joliment sa tristesse et chante l'Amore.
Au Lucernaire, Bruno Putzulu reprend son spectacle Les Ritals, adapté du roman biographique de François Cavanna.
En s’attaquant à La légende du Saint Buveur de Joseph Roth, auteur austro-hongrois (1884-1939), Christophe Malavoy réalise un ouvrage rempli de poésie et de tendresse.
Dans le cadre du Festival La Bâtie, la Villa Bernasconi, cinvite à rencontrer deux artistes performateurs hétéroclites et singuliers, Olga Dukhovnaya et Julian Vogel.
Au Grülti, Centre genevois de production et de diffusion des Arts vivants, en partenariat avec le Festival de la Bâtie, Kayije Kagame présente son dernier diptyque, Intérieur vie / Intérieur nuit.
Avec son délicat spectacle, Le chaperon rouge de la rue Pigalle, Florence Hebbelynck dresse le portrait délicat de Cathy, une prostituée parisienne.
Au Galpon, dans le cadre du festival de la Bâtie, Floria Détraz présente sa dernière création, Glottis.