Au Festival d’Avignon, Ali Chahrour, présente Du temps où ma mère racontait - كما روتها أمي, deuxième opus de sa nouvelle trilogie Amour.
Au Festival d’Avignon, le chorégraphe belge habite habilement la cour d'honneur du Palais des Papes, avec Futur Proche, une fresque décousue qui questionne les incertitudes de nos lendemains.
Avec Lady Magma, la chorégraphe irlandaise Oona Doherty orchestre un rituel féministe et tantrique joliment interprété par ses cinq danseuses, mais qui sonne un peu creux.
De Johannesburg à Avignon, les danseurs de Via Katlehong voyagent dans un ovni chorégraphique. Via Injabulo réunit autour d'eux Amala Dianor et Marco Da Silva Ferreira pour une fête de rêve.
Le Théâtre Louis Aragon de Tremblay-en-France prend ses quartiers à Avignon pour sa onzième année, proposant un programme de trois pièces courtes. Une sélection éclectique de création chorégraphique contemporaine, oscillant librement sur le spectre allant de la danse à la performance.
Au Théâtre du Corps, dans le Festival Off d'Avignon, Pietragalla et Julien Derouault chorégraphient La solitude des champs de coton de Koltès.
En marge de la programmation du Festival D'Avignon, Héla Fattoumi et Éric Lamoureux, directeurs de Viadanse, présentent EX-POSE(S), un diptyque qui explore les liens entre mouvement des corps et sculpture.
Au Théâtre de la Vignette, Michèle Murray célèbre, à sa manière abstraite, expressionniste, le printemps, l’arrivée des bourgeons, l’éclosion des premières fleurs.
À la Friche de la Belle de Mai, dans le cadre du festival de Marseille, le duo BODY BODY et le chorégraphe Redouan Mriziga font souffler sur la cité phocéenne, des vents contraires venus du plat pays.
À l'Espace Julien, dans le cadre du Festival de Marseille, le duo Voetvolk et leur troupe ont danser les marseillais jusqu'au bout de nuit.