Pour célébrer la réouverture du théâtre de Sartrouville, Sylvain Maurice directeur du lieu, propose de redécouvrir deux œuvres phares de son répertoire, deux monologues très différents, issus de sa collaboration étroite et synergique avec le comédiens Vincent Dissez, Réparer les vivants et Un jour, je reviendrai. Dialogue à bâtons rompus avec deux artistes habités. Comment vous êtes-vous rencontrés ? Sylvain Maurice : On se connaît depuis longtemps. Je l’ai souvent vu joué au théâtre. Nous
À l’Arsenic de Lausanne, Philippe Saire s’empare à corps perdu du thriller familial de Dennis Kelly et signe un huis-clos qui conjuguedanse et théâtre.
Pauline Bayle magnifie l’œuvre de Balzac, lui insuffle vie avec ingéniosité et profondeur. S’emparant à bras le corps du roman fleuve du célèbre auteur de la Comédie humaine, l’épurant jusqu’à l’os, elle signe une adaptation lumineuse de cette fresque magistrale que porte cinq comédiens virtuoses.
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