Dark was the night (Sombre était la nuit) d’Emmanuel Meirieu, un spectacle dense, où il est question du passé, du présent, de l’avenir, du racisme et d’écologie.
Avec le conte d’Andersen, La Reine des neiges, l’histoire oubliée, la Comédie-Française ouvre le bal des productions destinées à illuminer les fêtes de fin d’année.
Après L’Avare et Les Fourberies de Scapin, le jeune et talentueux Tigran Mekhitarian poursuit, avec Dom Juan, son travail sur l’œuvre de Molière, et nous propose une relecture assez étonnante et même pertinente de ce grand classique.