Dans La Joconde parle enfin, Laurent Ruquier prête toute sa verve à l'inénarrable comédienne en faisant revivre le modèle le plus célèbre au monde.
Mis en scène par Julia Vidit, directrice de la Manufacture – CDN Nancy Lorraine, la pièce de Guillaume Cayet nous (re)plonge dans cette période où la perception du monde se dessine.
Dans la mise en scène virevoltante d’Olivier Solivérès, entouré d’une bande de jeunes brillants, Stéphane Freiss incarne le professeur Keating du Cercle des poètes disparus pour la première adaptation du film au théâtre.
Au Théâtre Lepic, l'artiste, aux nombreux talents, en passe de devenir notre Woody Allen national, régale les zygomatiques avec sa nouvelle comédie, C'est pas facile d'être heureux quand on va mal.
Dans Rossignol à la langue pourrie, la comédienne, mise en scène par Guy-Pierre Couleau fait merveilleusement entendre les mots du poète de Montmartre, chantre des petits Poulbots, du populo, gens de la rue et de la misère.
Depuis maintenant plus de douze ans, tel le Beaujolais nouveau, le dernier cru de ce conteur sans pareil est attendu. Alors à la question : comment est-il ? La réponse est : un excellent millésime !
Plus de cinquante ans après sa création, la pièce de Robertot Athaye demeure un classique bien moderne.
Sur la scène transformée en mansarde, la Cie des Âmes libres présente ce très beau texte de George Perec.
Le spectacle de Julie Duval, "L'odeur de la guerre, sonne comme un coup de poing.
Au théâtre de la Reine Blanche, "Si tu t'en vas" de Kelly Rivière met face à face une enseignante et son élève démissionnaire.