Le metteur en scène suisse s’empare d’une histoire vraie qui conjugue au plateau poésie, double identitaire et quête de vérité.
Créé dans le cadre du festival Bruit au théâtre de l'Aquarium avant d'animer Paris l'été, l'opéra déambulatoire «Carmen» de Jeanne Desoubeaux revisite le chef-d'œuvre de Bizet avec un œil critique mais une méthode ludique.
Au TNP, Jean Bellorini met en scène les jeunes comédiennes de l'Afghan Girls Theater Group dans Les Messagères, une adaptation de l'Antigone de Sophocle dialoguant avec l'histoire de ces réfugiées.
Eva Rami a été auréolé du Molière 2024 du meilleur seule-en-scène, pour le troisième voler des aventures de son double, Elsa Ravi.
Au théâtre de la Vignette, dans le cadre du Festival Montpellier Danse, Dalila Belaza présente sa nouvelle création, "Rive".
Au Corum-Opéra Berlioz, le chorégraphe à la tête du pavillon noir d’Aix-en-Provence présente un triptyque composé de deux pièces de répertoire et d’une création. En accord parfait avec la thématique de cette 43e édition du festival montpelliérain, Angelin Preljocaj propose un voyage à travers le temps au plus près de l’évolution son processus artistique.
Delphine Horvilleur et Johanna Nizard, une union brillante autour de Gary et la question identitaire
S’inspirant brillamment de l’œuvre de Romain Gary, la rabbin Delphine Horvilleur nous offre avec «Il n’y a pas de Ajar» un grand moment de théâtre, porté par l’exceptionnelle interprétation de Johanna Nizard.
Au théâtre des Béliers Parisiens, Mélody Mourey poursuit, avec "Big Mother" sa folle course théâtrale.
Au Lucernaire, dans « Du Bonheur de donner », Ariane Ascaride fait résonner la parole de Bertolt Brecht.
Aïla Navidi nous transporte avec son spectacle, largement récompensé aux Molières 2024, portant sur l'immigration iranienne en France.