Au théâtre Mercadante de Naples , Jean Bellorini s’attaque pour la première fois de sa carrière à l’œuvre de Molière et signe un Tartuffe « delicizio ».
Dans le cadre du Temps fort jeunes créateurs, le Théâtre de la Ville a accueilli Not I de Camille Mutel, relecture méditative de la cérémonie du thé japonaise.
Pour les soirées printanières, le théâtre de Poche Montparnasse choisit le divertissement avec Mais n’te promène donc pas toute nue ! et autres Feydeau en poche, un spectacle rondement mené par la metteuse en scène Anne-Marie Etienne et une distribution enlevée. Monter Feydeau n’est jamais une mince affaire ! C’est une question de rythme et de sens. Son théâtre n’est pas de l’ordre de la pochade. N’oublions pas que derrière le ton
Dans un jeu de miroirs où se reflète fiction et réalité, Gil Galliot a écrit, Ma vie en aparté, un texte singulier et captivant sur l’art théâtral, offrant ainsi à Bérengère Dautun, l’un des plus beaux rôles de sa carrière et à Clara Symchowicz de faire des premiers pas prometteurs. A découvrir au Studio Hébertot
À la manufacture des Abbesses, Clara Leduc présente sa première pièce, un spectacle au féminin pluriel.
À la Tempête, Éléonore Joncquez s'empare avec sensibilité et folie douce d'Ovni d'Ivan Viripaev.
Dans le cadre du Festival Buit, reprise du spectacle de Lionel Gonzàlez, "La nuit sera blanche", qui revisite "La Douce" de Dostoïevski.
Au théâtre la Flèche, le comédien Audran Cattin s’essaie avec succès à la mise en scène en s’emparant d’Effleurer l’abysse de Solenn Denis.
Au Théâtre de Belleville, Jean-Michel Vier ranime avec fidélité ce classique sud-africain, et laisse entendre à nouveau toute sa richesse allégorique.
Sébastien Bournac porte à la scène la version française de J’accuse, une pièce coup de poing d'Annick Lefebvre.