Mélangeant cirque et musique, ce spectacle d’une beauté poétique et drolatique est une des meilleures créations du genre que l’on a pu applaudir ces derniers temps.
Au Théâtre du Rond-point, la magie de la chorégraphe et du musicien, installés depuis peu en France, opère indéniablement. Créé en 2017, lauréat du prix Fedora, ce ballet pour sept interprètes est tout simplement une merveille de virtuosité !
Blandine Savetier adapte Un pas de chat sauvage de Marie NDiaye, une histoire de regards blancs sur une existence noire, celle de Marie Martinez, étoile filante du Paris de 1850.
Avec Hamlet, Christiane Jatahy trouve le terrain propice pour synthétiser les questions de représentation qui occupent son œuvre d'une pièce à l'autre.
Au Châtelet, le chorégraphe anglais présente sa vision du ballet de Prokofiev. Créée en 2019, son adaptation contemporaine délaisse Vérone et l’histoire de Shakespeare pour un asile psychiatrique.
Au TNP-Villeurbanne, la metteuse en scène offre sa vision noire, crépusculaire du célèbre séducteur croqué par Molière et offre à Xavier Gallais un rôle d’anti-héros sans panache qui se heurte à sa propre et vaine jouissance.
A Amiens d’abord, puis en tournée, ensuite, la fameuse « moufflette » débarque avec sa gouaille et son sacré tempérament dans une comédie musicale fidèle à l’esprit de Raymond Queneau.
Avec 1200 Tours, Aurélie Van Den Daele met en scène une fresque politique ambitieuse et riche, qui ne tient pas toutes ses promesses mais avance avec générosité.
Le metteur en scène, débute avec une des dernières pièces du grand dramaturge norvégien, sa trilogie intitulée « L’enfant, l’enfance, l’adolescence », en mettant l’accent sur la disparition. Comment se reconstruire après la mort de son enfant ?
À l’Opéra national de Lorraine, Petter Jacobsson et Thomas Caley présentent Instantly Forever, leur dernier tour de piste pour l’institution nancéenne qu’ils quittent en décembre prochain, ainsi qu'A Folia, pièce explosive signée par le chorégraphe portugais Marco da Silva Ferreira.
En son Théâtre Studio d’Alfortville, le metteur en scène reprend la pièce du dramaturge suédois, décédé en 2021, du Covid. Un spectacle coup de poing et salutaire.
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