Anne Teresa de Keersmaeker investit le Théâtre de la Ville avec une nouvelle version très épurée de sa Nuit transfigurée .
Les Barbarians d'Hofesh Shechter s'invitent au théâtre de la Ville.
Une nouvelle fois, une pièce chorégraphiée de Pina Bausch enflamme le théâtre du châtelet. En association avec le théâtre de la Ville, est donné le ballet sombre Auf dem gebirge hat man ein geschrei gehört.
Natalie Dessay est une Und, saisissante et bouleversante, au théâtre des Abbesses.
L’inclassable et magistrale Dominique Blanc dans le rôle de la fourbe et manipulatrice marquise de Merteuil a de quoi séduire les amoureux du théâtre et les admirateurs de Choderlos de Laclos. Malheureusement, cela ne suffit pas. La trop sage et trop lisse adaptation de Christine Letailleur achoppe et ne souffre définitivement pas la comparaison avec l’excellent film de Stephen Frears. Si les mots du sulfureux écrivain sont bien présents dans
Le Retour au désert de Bernard-Marie Koltès, mise en scène par Arnaud Meunier, s'installe quelques jours au Théâtre de la Ville.
Au 104, Ces Histoires de Gorille raviront petits et grands.
Phia Ménard pose ses valises au Théâtre de la Ville et interroge avec Belle d'hier sur le monde de demain.
En utilisant l’aérobic et le fitness comme matières premières de sa chorégraphie, Paula Rosolen construit un spectacle dynamique, drôle, décalé et haut en couleur. Lauréate du prestigieux concours « Danse Elargie », la jeune allemande s’amuse des codes et des images désuètes véhiculés par le sport en salle. Bien que caustique, son regard reste empli de tendresse. Embarqués dans son univers qui augure une belle prestation, la redondance des scènes
En suspension, « scotché » par les étonnantes performances des six danseurs-acrobates qui envahissent la scène du théâtre de la Ville, le public se laisse embarquer dans la nouvelle ronde de Yoann Bourgeois. En jouant des équilibres, le jeune artiste fascine et envoûte. Celui qui tombe est un « ovni » théâtral d’une beauté rare, fragile, dont la poésie des mouvements coupe le souffle et enivre jusqu’au vertige. Sublime !.. Plongée dans le