Sorti en 2019 de l’AtelierCité à Toulouse, Thibaut Prigent est un jeune premier à l’imaginaire débordant. Alors qu’il ne pourra fouler les planches du mythique Odéon aux côtés de Clémentine Verdier et Mélodie Richard dans La double inconstance de Marivaux, monté magistralement par Galin Stoev, en mai prochain, il peaufine son seul en scène, La Fugue, une plongée vertigineuse dans son univers créatif de grand enfant. Rencontre avec un artiste ténébreux autant que
le 9 mars, La Colline a été pris d'assaut par les élèves et étudiants en art de Paris, qui réclament la réouverture des théâtres.
En attendant de retrouver les planches, la comédienne Pauline Cheviller s'est laissée prendre au jeu des Instantanés.
A l'Odéon-Théâtre de l'Europe, Sylvain Creuzevault s'empare d'un poème de Dostoïevski pour mieux questionner notre époque.
Aux ateliers Berthier, Braunschweig s’empare de la tragédie sacrificielle de Racine pour mieux la faire résonner dans les temps présents.
Profitant de ce temps de pause, le comédien Louis Berthélémy darde son regard (s) mélancolique et idéaliste sur les songes de ses nuits passées, présentes et futures.
A l'Odéon, Stéphane Braunschweig adapte avec brio pour la quatrième fois l'œuvre d'Arne Lyrne.
A Toulouse, Galin Stoev adapte La double inconstance de Marivaux.