Place Colette, Simon Delétang porte au plateau le drame philosophique et historique de l’auteur allemand mort à 23 ans. Dans le rôle-titre, son comédien fétiche, Loïc Corbery. Belle mais longue, la pièce ne tient son pari qu'à moitié.
Avec le conte d’Andersen, La Reine des neiges, l’histoire oubliée, la Comédie-Française ouvre le bal des productions destinées à illuminer les fêtes de fin d’année.
Du Théâtre du Vieux Colombier au Théâtre populaire de Montreuil, en passant par l’Azimut à Antony et Points Communs à Cergy, Véronique Vella joue dans 7 minutes, la très puissante pièce de Stefano Massini, mise en scène par Maëlle Poésy.
Place Colette, sous la direction de Julie Deliquet, le comédien se glisse à nouveau dans la peau de Molière, fait revivre la troupe de l'Illustre Théâtre et invite à une balade au coeur de la création. Entré comme pensionnaire en 2019 au Français, il habite le plateau de sa présence charismatique, de son jeu tellurique.
Après avoir participé à l’adaptation de La Nuit des rois, la première incursion de Thomas Ostermeier à La Comédie-Française, l’auteur collabore à la nouvelle aventure du metteur en scène allemand en (re)traduisant Le Roi Lear