Place Colette, sous la direction de Julie Deliquet, le comédien se glisse à nouveau dans la peau de Molière, fait revivre la troupe de l'Illustre Théâtre et invite à une balade au coeur de la création. Entré comme pensionnaire en 2019 au Français, il habite le plateau de sa présence charismatique, de son jeu tellurique.
Après avoir participé à l’adaptation de La Nuit des rois, la première incursion de Thomas Ostermeier à La Comédie-Française, l’auteur collabore à la nouvelle aventure du metteur en scène allemand en (re)traduisant Le Roi Lear
Au Studio-théâtre de la Comédie-Française, Elsa Lepoivre adapte le roman de Delphine de Vigan.
Au français, Laurent Delvert adapte de manière condensée Gabriel, roman dialogué de George Sand.
Salle Richelieu, Thomas Ostermeier ouvre la saison en confrontant une nouvelle fois, la troupe de la Comédie-Française à l’œuvre du dramaturge anglais et fait entrer le Roi Lear au répertoire.
Au TNP, 14 ans après sa création, Dominique Blanc, 538e sociétaire de la Comédie-Française, se glisse à nouveau dans les mots de Duras et dans la mise en scène de Chéreau.
Entre jeu et confidence, Catherine Salviat se dévoile dans 36 chandelles dans la Maison de Molière.
Dans Jean-Baptiste, Madeleine, Armande et les autres…, Julie Deliquet fait de Molière et ses comédiens une troupe presque comme les autres.
Au Studio-Théâtre de la Comédie-Française, Louis Arene monte Le Mariage forcé de Molière. Originale et incarnée, cette mise en scène s'impose comme l'une des réussites de cette saison anniversaire.
Au Studio de la Comédie-Française, Anne Kessler invoque toutes les femmes de Molière et les unit dans un portrait aussi touchant que joliment décalé.