Au Liberté à Toulon, où le spectacle a été créé, Ludivine Sagnier donne corps au Consentement, ouvrage autobiographique de l’écrivaine française, Vanessa Springora.
Aux Bouffes du Nord, Tiago Rodrigues présente Catarina ou la beauté de tuer des fascistes, une dystopie prophétique qui résonne amèrement en ces jours noirs qui voient, dans plusieurs pays européens, les partis extrémistes aux portes du pouvoir.
À la Colline, Anouk Grinberg donne corps à vingt-cinq « écrits bruts » issus notamment de Et pourquoi moi, je dois parler comme toi ? , recueil de textes éditée en 2020.
À la maison de Culture de Nevers qu’il dirige depuis 2016, l’enfant facétieux du pays s’amuse à brouiller les pistes, à passer du théâtre classique à des formes plus irrévérencieuses, moins policées. En s’attaquant au Chevalier et la dame du dramaturge italien, il plonge avec délice dans la Venise du XVIIIe siècle et invite à découvrir une
À l'Atelier, de grands noms du cinéma, du théâtre et de la musique, se donnent tour à tout rendez-vous pour faire entendre le texte féministe de Mona Chollet.
Pour que les vents se lèvent
Une Orestie
4 ➔ 8 octobre 2022
TNBA Bordeaux
Dans le cadre de la saison France-Portugal, Catherine Marnas et Nuno Cardoso, directeur du Teatro Nacional São João de Porto, portent au plateau une autre tragédie des Atrides, celle des victimes, des perdants.
À la MC93, Marie-Christine Soma porte au plateau la dernière nouvelle de 7, roman d’anticipation de Tristan Garcia. Avec habilité, elle signe un seul-en-scène haletant que porte avec maestria le solaire Pierre François Garel.
À l’affiche de l’Odéon, dans Jours de joie d’Arne Lygre, avant de reprendre la tournée de Comme tu me veux de Pirandello, Chloé Réjon trace sa route à son rythme, entre art, émotion et passion.