Dans le cadre de la première édition du festival transfrontalier iTAK, le collectif Back Pocket présente le chat de Schrödinger.
Au Moulin du roc, puis au Méta, Eliakim Sénégas-Lajus remonte le fil du temps et plonge ses comédiens-danseurs dans une cour de récré.
Vu aux Bords 2 Scènes de Vitry-le-François, The Lulu projekt ranime un référentiel punk pour raconter l'errance d'un adolescent égaré.
Au théâtre de Belleville, , Pauline Ribat remonte le fil de ses souvenirs et ceux de sa famille afin de retrouver l’image de l’homme qui lui a donné la vie.
Au Rond-Point, Daniel Pennac raconte en creux l'histoire de son frère disparu à travers les mots du Bartebly de Melville.
Au Grand Parquet, dans le cadre de la quatrième édition du JT, Nicolas Girard-Michelotti présente une maquette plutôt aboutie de Barbie sur le récif.
Chaillot, Étienne Rochefort explore les contours d’une nouvelle danse, construite à partir de portraits vidéos TikTok.
Au Vieux-Colombier, Le duo prodige Stéphane Varupenne-Sébastien Pouderoux revisite à la sauce pop rock acidulée les Précieuses ridicules de Molière.
Sur la scène du Studio de la Comédie-Française, Pierre Louis-Calixte convoque, à la demande d’Éric Ruf, les fantômes de sa vie, ainsi que ceux de de Molière.
À L’Espace des Arts de Chalon-sur-Saône, avant de s’installer en juillet à Avignon à Présence Pasteur, Léna Bréban présente Renversante de Florence Hinckel.