Au Liberté à Toulon, où le spectacle a été créé, Ludivine Sagnier donne corps au Consentement, ouvrage autobiographique de l’écrivaine française, Vanessa Springora.
Au Festival d’Avignon, le chorégraphe belge habite habilement la cour d'honneur du Palais des Papes, avec Futur Proche, une fresque décousue qui questionne les incertitudes de nos lendemains.
La troupe du Tanztheater Wuppertal, qui s'apprête à passer sous la direction de Boris Charmatz à la rentrée, recrée Barbe-Bleue, un classique du répertoire de Pina Bausch. L’occasion de redécouvrir les secousses d’une œuvre qui n’avait plus été jouée depuis 1994.
Au Châtelet dans le cadre des hors-les-murs du Théâtre de la Ville, Akram Kahn mue le roman de Rudyard Kipling en une fable environnementaliste anticipatrice.
Dans le cadre du Temps fort jeunes créateurs, le Théâtre de la Ville a accueilli Not I de Camille Mutel, relecture méditative de la cérémonie du thé japonaise.
Après moultes péripéties, la première grosse création du nouveau directeur de la Comédie de Valence, Marc Lainé s’installe enfin pour quelques jours en terre valentinoise.
Au Théâtre de la Ville, dans le cadre du Festival Faits d’Hiver, Amala Dianor propose un programme composé de deux pièces courtes, Wo-Man et Point Zéro.
À l’Espace Cardin, Frédéric Bélier-Garcia met en scène sa mère Nicole Garcia dans Royan, une pièce écrite sur mesure par Marie NDiaye. Rencontre avec un artiste sensible. Quelle est la genèse du projet Royan ? Frédéric Bélier Garcia : Au départ, c’est né d’un désir de Nicole (Garcia) de remonter sur scène. Elle ne souhaitait pas une forme trop lourde, elle avait envie d’un récit centré sur un unique personnage, d’un texte