Au 104-Paris, Arthur Amard, Rémi Fortin, Simon Gauchet et Blanche Ripoche imaginent une archive du présent dans une pièce drôle et mélancolique.
Au CDN de Sartrouville, dans le cadre du festival Impatiences, le collectif Mind The Gap dévoile J'aurais mieux fait d'utiliser une hache, une déconstruction théâtrale et ludique des films d'épouvante.
Au théâtre 13, Maurin Ollès, lauréat du prix des lycéens et celui du public du festival Impatience 2021, présente sa première création, Vers le spectre.
À la Manufacture à Avignon, Emmanuel De Candido présente Pourquoi Jessica a-t-elle quitté Brandon ?, spectacle rare et désopilant.
Au théâtre 13, Guillaume Barbot reprend Nuit, pièce, inspiré par le film de Laughton, qui avait remporté en 2015, le prix des lycéens du Festival Impatience.
Sélectionné au Festival Impatience 2021, Les Rejetons de la Reine présente, les 6 et 7 décembre, au JTN, leur première création, Un poignard dans la poche.
Dans le cadre du festival Impatience, Anais Muller et Bertrand Poncet présentent leur dernière création au Théâtre de Sartrouville.
Au CDN de Rouen, Vincent Menjou-Cortès propose sa vision très personnelle et déjantée des neuf tragédies de Sénèque.
Derrière les hauts murs du 104, fermé au public, le Festival Impatience bat son plein et le collectif Os’o présente sa dernière création, X.
Au théâtre de Chelles, Home de la metteuse en scène franco-allemande Magrit Coulon ouvre le bal d’un festival impatience 2020 à huis clos.