À l'occasion de la reprise au théâtre de l'Atelier d'"Il n’y a pas de Ajar", excellent spectacle mis en scène et interprété par la non moins brillante Johanna Nizard, l’écrivaine et rabbin Delphine Horvilleur répond à nos questions.
Début septembre, la compagnie Le K, menée par Simon Falguières, accueillait le public pour la deuxième édition de son festival. À l'image des créations de la compagnie, ce week-end de théâtre s'offre comme une utopie en construction.
Étrennant une carrière de Boulbon rouverte, Philippe Quesne extrapole, à partir du Jardin des délices de Jérôme Bosch, la rêverie apocalyptique d'une communauté new age du futur. Un in situ bien pensé, peut-être trop.
En ouverture du Festival d’Avignon, Julie Deliquet, directrice du Théâtre Gérard Philipe à Saint-Denis, porte au plateau le chef-d’œuvre documentaire de Frederick Wiseman, Welfare. Transformant la cour d’honneur du palais des Papes en bureau d’aide sociale new-yorkais, elle signe un spectacle fragile, humain, dont l’intimité se perd sur l'immense scène à ciel ouvert.