Au Théâtre de la Renaissance, où il a ses habitudes, Ivan Calbérac adapte et met en scène Les humains, pièce à succès du dramaturge américain Stephen Karam.
Au Théâtre du Châtelet, Angelin Preljocaj confronte avec virtuosité les rites d’aujourd’hui à ceux relatés dans les grands récits des mythologies antiques.
À la Criée, Théâtre national de Marseille du 18 au 20 décembre 2024, Suzanne de Baecque et sa complice Raphaëlle Rousseau poursuivent la tournée de Tenir debout.
Aux Abbesses – Théâtre de la Ville, dans le cadre du Festival d’Automne à Paris, Milo Rau et Ursina Lardi imaginent un dialogue poignant avec l’au-delà et signe une œuvre hybride entre scène et écran.
Pour le premier programme de saison, le Ballet de Lorraine joue d’audace e en proposant un diptyque dans l’air du temps, composé d’une pièce de Loïc Touzé, tout en lenteur retenue, et une de Maud Le Pladec, véritable feu d’artifice chorégraphique et visuel.
Toutes voiles dehors, après une année post-covid particulièrement compliquée pour les lieux de culture, Fériel Bakouri retrouve un bon rythme de croisière, qui lui permet de franchir une nouvelle étape pour l’évolution de la scène nationale et de mettre en œuvre son projet à destination des populations cergypontaines et valdoisiennes. Rencontre.
Au théâtre des 13 vents, Nathalie Garraud et Oliver Saccomano initient avec Institut Ophélie, second volet d’un diptyque consacré à deux figures emblématiques shakespeariennes, une réflexion sur le statut des femmes à travers les âges.