Révélation de cette 78e édition du Festival d’Avignon, l’artiste chilien invite à plonger dans son quotidien, de son enfance à aujourd’hui, au sein d'un pays en crise permanente.
Chez Étienne Lepage et Alix Dufresne, quatre clowns sans nez rouge retournent un plateau vide dans un slapstick philosophique drôle et cruel.
Au Festival d’Avignon, la chorégraphe britannique Yinka Esi Grave brûle les planches en redonnant de la visibilité aux artistes africains qui ont marqué les débuts de cet art andalou.
À l’initiative du Festival d’Avignon et du Wiener Festwochen, le metteur en scène argentin se voit confier la “Pièce commune” de cette édition à destination de l’itinérance.
En adaptant pour la scène la BD culte de Fabcaro, Maïa Sandoz et Paul Moulin signent une performance délirante et euphorisante qui met en lumière les contradictions de la nature humaine.
Disséquant jusqu’à l’os la procédure de comparution immédiate, Lorraine de Sagazan et Guillaume Poix esquissent la fable noire et fantastique d’un système pénal et judiciaire qui a perdu toute humanité.
Poursuivant son aventure avec le Festival d'Avignon, le metteur en scène expérimentateur s'empare librement du classique de Cervantès avec une distribution haut de gamme, dans une adaptation fragile.
Dans le cadre du dispositif du Théâtre du Point du Jour, les Grands ReporTERRES, la journaliste Giulia Foïs et le metteur en scène Etienne Gaudillère ont fait théâtre d'une épineuse question. Et c'est un franc succès, repris pour le Off d'Avignon au Théâtre des Carmes.
S’inspirant de l’histoire véridique de sa sœur adoptive, la jeune comédienne Clémence Baron a écrit une pièce bouleversante sur le drame des orphelins roumains sous le régime de Ceausescu.
Présentant deux pièces pour sa première venue au Festival d'Avignon, l'artiste argentin dévoile un théâtre politique résolu à inverser les rapports de force.