Sous l'égide de l'Institut du monde Arabe, le premier festival de danse arabe propose une programmation riche et variée.
Au théâtre du Rond-point, Marine Bachelot Nguyen et David Gauchard esquisse le portrait d'une homophobe fanatisée.
A la Colline - Théâtre national, Stanislas Nordey s'empare avec fièvre, fougue au texte autobiographique d'Edouard Louis.
Aux Déchargeurs, Marianne basler donne vie à L'Autre fille d'Annie Ernaux.
Adapter un roman de Virginie Despentes, et tout particulière celui qui a obtenu le prix Renaudot en 2010, au théâtre est toujours un évènement. Sa plume provocatrice, haute en couleur, se prête aisément à la scène tant la force des images qui s’en dégagent offre une infinie possibilité de représentations. A trop respecter le texte, sans en extraire une vision plus personnelle de l’œuvre, Selma Aloui signe un spectacle qui, certes sympathique et rock, manque d’un
Au oui ! Festival à Barcelone, Anne Monfort donne vie au roman de Lydie Salvayre, Pas pleurer.
Au Studio de la Comédie-Française, Pauline Bayle adapte Chanson douce, le roman de Leïla Slimani.
A l'Odéon, Simon Stone signe une sitcom aux airs de tragédie élisabéthaine.
Au Tandem à Arras, Arnaud Anckaert rate son Shakespeare.
A la Comédie de Caen, Lucie Berelowitsch réinvente le célèbre conte russe L'Oiseau de Feu.