Au Théâtre de la Ville – Les Abbesses, Johanny Bert présente sa nouvelle création, un bel ovni marionnettique autour de la figure de l’ange, cet être divin censé veiller sur les humains.
Véritable tour du monde des danses urbaines actuelles, la nouvelle création du chorégraphe franco-sénégalais est un shoot d’énergie pure porté par onze « streetdancers » virtuoses.
Après avoir enflammé Avignon, l’auteur et metteur en scène poursuit son exploration de La Vie secrète des vieux dans une belle tournée en France et à l’étranger. Déboulonnant avec humour et tendresse un des derniers tabous qui hante les EPHAD, il met nos cœurs en joie et signe une performance qui fait du bien à l’âme et au corps.
Pour sa première participation au Festival d’Avignon, le chorégraphe à la tête du CNDC d’Angers affiche en gros plan les gestes de ses danseurs et démultiplie les mouvements sur des airs de Bach.
Dirigés avec tendresse par Mohamed El Khatib, quatre délicieuses mamies et deux avenants papis narrent, sans tabou et avec un malin plaisir, leurs frasques à l’Ephad.
À Avignon, l'Argentine Lola Arias nous immerge au plus près des désirs et des rêves d'un groupe d'ex-détenues cis et trans qui, après avoir vécu l’enfermement, ont fait le choix de la liberté et de la joie.
Présentée en première française à Château Rouge–Scène conventionnée d’Annemasse et actuellement à l’affiche du Théâtre de la Ville, cette pièce dansée par huit talentueux interprètes de la compagnie Shechter II offre une vision contrastée de l’Angleterre. Un « je t’aime moi non plus » survolté.
Le chorégraphe a créé un fabuleux "face-à-face" pour ses danseuses Marion Alzieu et Mwendwa Marchand. Nous avons pu le rencontrer à Avignon, où le duo se produit dans le cadre du festival La Belle scène Saint-Denis, jusqu’au 6 juillet, avant le festival Paris l’été où le public pourra le voir sur scène.
Pour sa première fois au Festival d’Avignon, l’artiste à la tête du Cndc d’Angers imagine avec "Close up" une variation chorégraphique et filmique autour de "L’Art de la fugue" de Bach, joué en direct au plateau.
De Beethoven à Kanye West, la nouvelle création du chorégraphe israélien, présentée en première mondiale au Festival de Marseille, est une déferlante généreuse et transcendante de mouvements de haute technicité et de virtuosité. Une merveille !
Pour sa deuxième venue en France, le jeune chorégraphe anglais présente une nouvelle création qui creuse le sillon de son premier opus dans ses forces comme dans ses faiblesses, peuplant la scène du Théâtre de la Ville de guerriers à plumes.
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