Au TNN, avant de s’installer au festival d'Avignon, Samuel Achache fait chanter les marteaux, dérailler les cœurs et s’effondrer, en rythme, murs et cloisons de la maison Amour.
À l'Odéon, dans le cadre d'Adolescence et territoire(s), Pauline Bayle fait jouer les Suppliantes d'Eschyle à seize jeunes comédiens amateurs.
Pour sa 12e exposition, La Villa Datris de L'Isle-sur-la-Sorgue met à l'honneur la céramique avec Toucher terre.
À la Manufacture des Abbesses, Sarah Pèpe présente Points de bascule, une histoire de femmes prises dans l’engrenage d’un monde qui n’hésite pas à broyer les siens.
Aux Bouffes du nord, puis en tournée dans toute la France, "Le Chœur des amants de Tiago Rodrigues fait les beaux jours des spectateurs.
Au printemps des Comédiens, à côté des géants, McBurney et Lacascade, des artistes primés et de jeunes metteuses en scène donnent vie à des formes hybrides singulières.
À la Reine Blanche, Mickaël Délis questionne à la manière de Simone de Beauvoir, le Premier sexe. Un délice.
Au Printemps des comédiens, Simon McBurney et Annabel Arden font sensation avec leur adaptation vivante de Michael Kohlhass de Kleist.
À la Colline, The Interrogation, mis en scène par Milo Rau, ausculte la figure déjà tant examinée d'Édouard Louis.
En ouverture du Printemps des Comédiens, Éric Lacascade s'empare avec épure et intensité de la tragédie de Sophocle.