À la Friche de la Belle de Mai, dans le cadre du festival de Marseille, le duo BODY BODY et le chorégraphe Redouan Mriziga font souffler sur la cité phocéenne, des vents contraires venus du plat pays.
Pour sa première fois à Montpellier Danse, Noé Soulier explore dans First Memory, le rapport entre intention, action, gestuelle et mémoire.
Aux Nuits de Fourvière, à Lyon, les Chiens de Navarre auscultent une société malade. Drôle et rythmée, La vie est une fête ne se hisse toutefois pas à la pleine hauteur de ses ambitions.
Au Lucernaire, Claudie Russo-Pelosi signe une adaptation théâtrale du roman de Boris Vian, L’écume des jours, des plus réussites.
Dans le cadre du festival Montpellier Danse, la chorégraphe sud-africaine présente deux de ses œuvres emblématiques de son écriture traversée par une dimension politique et engagée.
À Montpellier Danse, Ohad Navarin présente 2019, pièce intime, personnelle et intensément subversive, qui montre, s'il était nécessaire, la virtuosité de la Batsheva.
À Grignan, Julia de Gasquet porte au plateau Les Fâcheux, la toute première comédie-Ballet de Molière, et l’ancre avec minutie et intelligence au cœur du Grand Siècle.
La troupe du Tanztheater Wuppertal, qui s'apprête à passer sous la direction de Boris Charmatz à la rentrée, recrée Barbe-Bleue, un classique du répertoire de Pina Bausch. L’occasion de redécouvrir les secousses d’une œuvre qui n’avait plus été jouée depuis 1994.
Deux ans après le très pop et très baroque LOVETRAIN2020, Emanuel Gat revient à Montpellier Danse avec sa version dansée de Tosca de Puccini.
À l'Odéon 6e, Thomas Ostermeier adapte le premier tome de la saga à succès de Virginie Despentes. Presque à contre-emploi du matériau, il livre une pièce étonnante, bégayante, qui réussit à captiver.