Metteur en scène prolixe, comédien de cinéma à ses heures, Thierry Harcourt roule sa bosse et ses belles inspirations de théâtre en théâtre. Hyperactif, toujours un texte prêt à monter dans ses tiroirs, il prépare avec impatience la réouverture des salles de spectacles, ainsi que sa prochaine création. En attendant, il a accepté de répondre à nos instantanés.
En attendant de retrouver les planches du Poche-montparnasse ou de fouler celle du La Bruyère, Isabelle Andréani répond à nos instantanés.
Au Poche-Montparnasse, Nicolas Briançon met en scène la délicate Alice Dufour dans Mademoiselle Else d’Arthur Schnitzler.
Sans chercher à le singer, l’imiter, l’élève d’Aboville se glisse dans la peau du maître Bouquet. Reprenant les mots savoureux que le comédien a échangés avec Charles Berling, à l’occasion du tournage en 2001 de Comment j’ai tué mon père d’Anne Fontaine, le spectacle esquisse le portrait impressionniste d’un homme rare, vrai, qui manipule avec virtuosité l’autodérision. Un bijou de tendresse et de malice.
Au Poche-Montparnasse, Olivier Baumont et Marcel Bozonnet conte l'histoire tragique d'Henriette d'Angleterre.
Le Poche-Montparnasse rend un hommage vibrant, drôle et émouvant à Michel Legrand.
Au poche-Montparnasse, Marion Bierry conte la vie de la dernière Reine de France.
Au Poche-Montparnasse, Jean-Louis Benoit adapte follement deux farces d'Anton Tchekhov.
Au Poche-Montparnasse, Charlotte Rondelez donne vie avec une infinie délicatesse La Ménagerie de verre de Tennesse Williams