Le metteur en scène, qui a enchanté les spectateurs lors du dernier Festival d’Avignon par sa folle version du "Songe", se confronte, pour cette édition dédiée à la langue espagnole, à l'œuvre de Cervantès. Entretien dans les murs de la Maison Jean Vilar, à Avignon.
Carrière Boulbon, Tiago Rogrigues s’empare de la pièce d’Euripide et l’ancre dans le temps présent en la faisant résonner avec un drame d’aujourd’hui, celui d’une mère face à la maltraitance de son enfant.
Au Printemps des comédiens, le metteur en scène manceau adapte pour une partie de la promotion 23 du CNSAD la plus épique des tragédies grecques, livrant une relecture déjantée qui déclenche les rires et quelques larmes.
À la Villette avant une belle tournée européenne et une halte à Montpellier Danse en juillet, le chorégraphe aixois explore le deuil dans une succession de tableaux aussi crépusculaires qu’explosifs.
Avec La Criée, le Collectif 49701 a investi la Cité des arts de la rue à Marseille pour y présenter la troisième saison d’une série théâtrale qui parcourt la France depuis plus de dix ans.
Au théâtre de la Ville, Aurélien Bory présente sa nouvelle création, "Invisibli", une fresque monde inspirée de Palerme.
Au Théâtre de la Renaissance d’Oullins, Jean Lacornerie sort des tiroirs de Broadway, Woman of The Year, une comédie musicale très américaine.
À Palerme au Teatro Biondo, avant d’entamer une tournée en France et en Italie, qui débutera en janvier au Théâtre de la ville, Aurélien Bory donne vie, avec Invisibili, à l’une des plus fameuses fresques de la cité sicilienne, Le Triomphe de la mort. Transposant au temps présent les fléaux d’hier, il imagine une peinture dansée du monde entre extase et désillusion.
Au Corum-Opéra Berlioz, le chorégraphe à la tête du pavillon noir d’Aix-en-Provence présente un triptyque composé de deux pièces de répertoire et d’une création. En accord parfait avec la thématique de cette 43e édition du festival montpelliérain, Angelin Preljocaj propose un voyage à travers le temps au plus près de l’évolution son processus artistique.
Au TNP-Villeurbanne, Jean Bellorini monte Le Suicidé de Nicolaï Erdman d’après la traduction d’André Markowicz et signe un spectacle haut en couleurs, drôle autant que cruel.