Aux Célestins, Julien Rocha répète Surexpositions de Marion Aubert , une évocation esquissée de Dewaere, l’acteur, l’homme, le mythe.
Dans le cadre de Momix, Lionel Lingelser présente une ébauche déjà bien ciselée d’un solo intime et personnel, Les possédés d’Illfurth.
Faute de pouvoir présenter Badine, son adaptation musicale du chef d'œuvre de Musset, Salomé Villiers a accepté de répondre aux instantanés.
Au théâtre de Saint-Quentin en Yvelines, David Gauchard propose à quelques professionnels d’assister à un filage de Nu, une pièce documentaire en devenir sur le métier de modèles vivants. Avec délicatesse, il met en lumières ces artistes de l’ombre, qui avec pudeur font de leur nudité un habit, une arme, un moyen d’expression. Quitter Paris, prendre l’autoroute direction la Normandie, à un côté bucolique en cette période hivernale bien grise et
Au théâtre du Rond-Point, Vincent Roca aurait dû reprendre pour Noël, Ma parole !, la pandémie et le gouvernement en a décidé autrement.
A la tempète, sans public, Guillaume Bardot parachève son adaptation d’Alabama Song, une biographie passionante de Zelda Fitzgérald.
Aux Subs à Lyon, David Gauchard et Martin Palisse répètent inlassablement et peaufinent le spectacle né de leur collaboration, Time to tell.
A la Huchette Alain Payen concocte, d’après des nouvelles de Guy de Maupassant, un tribunal de Flagrant déni absolument délectable.
Au Rive-Gauche, Jean-Philippe Daguerre présente sa dernière création, l'histoire d’une famille prise dans les tourments de l’épuration.
Au Théâtre Lepic, Eric Bu s'empare avec brio de la figure mythique de Françoise Dolto et signe un portrait fin, ciselé d'une femme libre.