Présentant deux pièces pour sa première venue au Festival d'Avignon, l'artiste argentin dévoile un théâtre politique résolu à inverser les rapports de force.
Avec les étudiants en théâtre de la Manufacture – Haute École des arts de la scène de Lausanne, Fanny de Chaillé plonge dans les archives du festival et en revisite avec humour et fantaisie ses grands moments.
Au Festival d'Avignon, l'artiste varsovienne orchestre les voix d'un chœur de femmes ukrainiennes, biélorusses et polonaises touchées par la guerre dans un spectacle musical qui donne une forme à l'urgence.
Dirigés avec tendresse par Mohamed El Khatib, quatre délicieuses mamies et deux avenants papis narrent, sans tabou et avec un malin plaisir, leurs frasques à l’Ephad.
Au Festival d'Avignon, la metteuse en scène uruguayenne, incontournable en Amérique latine, fait résonner les récits d'exil de sept femmes dans un geste performatif qui échoue à convaincre entièrement.
À Avignon, l'Argentine Lola Arias nous immerge au plus près des désirs et des rêves d'un groupe d'ex-détenues cis et trans qui, après avoir vécu l’enfermement, ont fait le choix de la liberté et de la joie.
Au Festival d’Avignon, l’artiste à la tête du Théâtre National de Strasbourg présente sa dernière pièce à la rencontre de celles et ceux qui font de la haute-couture un art.
Dans le cloître des Célestins, à Avignon, l’artiste helvético-espagnole lâche la bride aux conventions scéniques et propose une variation performative, hallucinée autant qu’hallucinante, autour de la vie de Jeanne de Castille.
Le metteur en scène, qui a enchanté les spectateurs lors du dernier Festival d’Avignon par sa folle version du "Songe", se confronte, pour cette édition dédiée à la langue espagnole, à l'œuvre de Cervantès. Entretien dans les murs de la Maison Jean Vilar, à Avignon.
« Qui som ? », titre facétieux et philosophique de la troupe menée d’un train d’enfer par la française Camille Decourtrye et le catalan Blaï Mateu Trias. Une bouffée de bonheur !