Voyage au cœur de la Transidentité
Mat, Elias et Charly se raconte dans Je est un.e autre.
Suggestions
Les Parisiens ou les fourberies hypocrites et cyniques du pouvoir
La satire est amère. Le regard acéré, sombre. Plongeant dans ses pensées, ses souvenirs, Olivier Py conte par le menu son ascension, ses perversions, ses obsessions et ses errances.
Ziryab, un voyage onirique et fascinant au cœur d’Al-Andalus
Au Complot à Avignon, Daniel San Pedro conte l'histoire de Ziryab, le plus grand musicien du monde arabe.
Impromptu 1663, entre cas d’école et mise en abyme du théâtre
Au gymnase du lycée Saint-Joseph, Clément Hervieu-Léger redonne vie à la troupe de Molière dans l'Impromptu 1663
Ibsen Huis, les chroniques sulfureuses et funestes d’une famille à la dérive
Dans la cour du Lycée Saint-Joseph, Simon Stone nous entraine dans les circonvolutions de l'Ibsen Huis, soit la maison d'Ibsen.
Die kabale der scheinheiligen…, les adieux flamboyants de Castorf à la Volksbühne de Berlin
Au parc des expositions, Frank Castorf réinvente la vie de Molière et interroge sur le théâtre d'aujourd'hui dans Die Kabale der scheinheiligen.
Sopro, le théâtre en un souffle vibrant et salvateur
Au cloître des Carmes, dans Sopro, Tiago Rodrigues souffle son amour pour le théâtre.
Standing in time, le lancinant et glacial bal des dames
Dans la cour du Lycée Saint-Joseph, Lemi Ponisafio nous invite à un voyage immobile dans Standing in time.
Fatmeh ou le deuil chorégraphié
Fatmeh pleure ses morts au cloître des célestins.
Qué haré yo con esta espaça? ou la noirceur du monde jusqu’à l’écœurement
Angélica Liddell provoque l'écœurement dans Qué haré yo con esta espaça?.
Les Damnés, un voyage glaçant au bout de l’enfer
Un souffle glaçant et glacial envahit la cours du Palais des Papes et fige dans l'horreur ces Damnés.
Le roi Lear d’Olivier Py… Tragédie hystérique
La cour d’honneur du palais des Papes résonne de cris, de hurlements et de vociférations déclamatoires. En déchirant le silence si brutalement, si férocement, si vulgairement, Olivier Py livre une version « trash » et violente du roi Lear de William Shakespeare, empreinte de son dégoût du monde qui l’entoure. En accentuant l’hystérie de cette tragédie, il pointe les dérives de notre société où la politique se meurt et l’humanisme n’est plus