À la Colline, Anouk Grinberg donne corps à vingt-cinq « écrits bruts » issus notamment de Et pourquoi moi, je dois parler comme toi ? , recueil de textes éditée en 2020.
À la maison de Culture de Nevers qu’il dirige depuis 2016, l’enfant facétieux du pays s’amuse à brouiller les pistes, à passer du théâtre classique à des formes plus irrévérencieuses, moins policées. En s’attaquant au Chevalier et la dame du dramaturge italien, il plonge avec délice dans la Venise du XVIIIe siècle et invite à découvrir une œuvre jamais montée en France qui voit la vertu triompher du vices.
À l'Atelier, de grands noms du cinéma, du théâtre et de la musique, se donnent tour à tout rendez-vous pour faire entendre le texte féministe de Mona Chollet.
Dans le cadre de la saison France-Portugal, Catherine Marnas et Nuno Cardoso, directeur du Teatro Nacional São João de Porto, portent au plateau une autre tragédie des Atrides, celle des victimes, des perdants.
À la MC93, Marie-Christine Soma porte au plateau la dernière nouvelle de 7, roman d’anticipation de Tristan Garcia. Avec habilité, elle signe un seul-en-scène haletant que porte avec maestria le solaire Pierre François Garel.
À l’affiche de l’Odéon, dans Jours de joie d’Arne Lygre, avant de reprendre la tournée de Comme tu me veux de Pirandello, Chloé Réjon trace sa route à son rythme, entre art, émotion et passion.
Salle Richelieu, Thomas Ostermeier ouvre la saison en confrontant une nouvelle fois, la troupe de la Comédie-Française à l’œuvre du dramaturge anglais et fait entrer le Roi Lear au répertoire.
Au TNB, Bruno Geslin et Pierre Maillet reprennent vingt ans après la création, Mes jambes si vous saviez, quelle fumée..., et signent un portrait irrévérencieux de l'artiste bordelais Pierre Molinier.