À Biarritz, le Temps d'aimer, festival dirigé par Thierry Malandain évoque les guerres d’hier, d’aujourd’hui, convoque les traditions basques, fait danser la vie et s’unir hommes et femmes dans un étonnant et hypnotique duo.
La comédienne Anny Duperey reprend au Lucernaire, Mes Chers Enfants, une texte dans lequel elle irradie de vie et d'élégance.
À Biarritz, la 32e édition du festival le Temps d’aimer la danse bat son plein. Dirigée depuis plus de 30 ans par Thierry Malandain, la manifestation est un savant mélange entre valeurs sûres, émergences et artistes venus d’ailleurs.
À la Pépinière théâtre, Ludivine de Chastenet porte au plateau Le Comble des vanités, une comédie noire de Valérie Fayolle, et offre, à Virginie Pradal, un rôle à mourir de rire.
Après avoir cartonnée cet été à Avignon, L’Invention de nos vies, pièce adaptée du roman éponyme de Karine Tuil, s’installe pour l’automne et l’hiver au Théâtre Rive Gauche.
Écrit tout spécialement pour Philippe Torreton et Vincent Garanger, Lazzi, objet théâtral non identifié de Fabrice Melquiot, est un petit chef-d’œuvre burlesque qui explore notre rapport au monde et surtout à l’amitié.
Avec Glenn Gould, naissance d'un prodige, Ivan Calderac nous convie à découvrir la vie du grand pianiste canadien.
En ouverture de saison du Châtelet, Olivier Fredj invite avec Watch à une invitation au voyage à travers le temps.
Traversant les siècles, la comédie de Corneille mise en scène subtilement par Marion Bierry, nous parvient admirablement.
Au théâtre des amis de Carouge, dans le cadre du Festival de la Bâtie, Françoise Courvoisier et Denis Jutzeler esquisse un double portrait scénique et filmique de Grisélidis Réal et Nancy Huston.