Au théâtre du Marais, Edouard Collin quitte un temps le théâtre du Boulevard, pour Mes adorées, un spectacle plus intime, plus personnel.
À la Scène nationale Châteauvallon-Liberté, Claire Nebout donne corps à la plus célèbre des peintres mexicaines, sous le regard insolite de Karelle Prugnaud.
À la Comédie des Champs-Élysées, Philippe torreton met la poésie en musique.
À Vedène dans le cadre de la saison de l’Opéra Grand Avignon, Émilio Calcagno, présente Storm, sa première création pour le corps de ballet.
Au Studio Hébertot, Marc Citti explore les angoisses, les doutes et le joies d'un comédien cinquantenaire, jeune papa pour la première fois.
À l'Espace 1789, avant d'investir en mars le TGP, Julie Berès questionne avec La Tendresse, la masculinité d'aujourd'hui.
Mise en scène avec une très belle délicatesse par Raphaëlle Cambray, L’odeur des Azalées, suffocante, de Sophie Cottin esquisse deux beaux portraits de femmes.
À La flèche Théâtre, le comédien Charles van de Vyver s’empare avec faconde poétique et présence lumineuse d’Abysse de Jón Atli Jónasson.
Avec Dans la fumée des joints de ma mère, Christine Citti à l’écriture, Jean-louis Martinelli, à la mise en scène, imagine, au TGP, une dystopie sociale sous exta.
Au Kiasma, dans le cadre de la saison annuelle de Montpellier Danse, Magali Milian et Romuald Luydlin immergent le public dans une quête nocturne.