Avec son spectacle Pourquoi mon père ne m’a pas appris l’arabe ?, la jeune autrice-metteuse en scène franco-marocaine évoque, dans une autofiction rondement menée, l’intrusion du politique dans la sphère de l’intime et ses bouleversements.
Dans Rossignol à la langue pourrie, la comédienne, mise en scène par Guy-Pierre Couleau fait merveilleusement entendre les mots du poète de Montmartre, chantre des petits Poulbots, du populo, gens de la rue et de la misère.
Au Théâtre de Belleville, le metteur en scène, ancien co-directeur du théâtre 13 avec Colette Nucci, porte au plateau, de manière chorale, Ceux qui se sont évaporés.
En clôture du Festival Les singulier.es, organisé par le CentQuatre-Paris, le chorégraphe chambérien, directeur depuis août 2022 du Tanztheater de Wuppertal, présente son dernier solo, une œuvre à bout de souffle.
À la demande de l’administrateur du Français, Eric Ruf, Justine Heynemann met en scène et adapte avec sa complice Rachel Arditi, la célèbre bande dessinée de Pénélope Bagieu.
Salle Sarah Bernhardt, le directeur du Théâtre de la Ville s’empare d’une des pièces les plus féériques du répertoire et invite à plonger dans un bal des illusions visuellement réussi mais en manque d’intensité dramatique.
Thierry Harcourt met en scène avec une belle créativité ce grand classique du théâtre de l’absurde, donnant ainsi à Frédérique Tirmont et Bernard Crombey deux rôles en or.
Après son immense succès à Londres et à New York, la pièce de la pénaliste Anglaise, Suzie Miller arrive enfin à Paris. Un texte fort sur la notion de consentement et qui lance ce cri : « Seul un oui et un oui » !
Salle pleyel, avant une belle tournée en France, la dernière création du chorégraphe marseillais fait danser les couples, les trouples et les quatuors en tout genre.
Au Poche Montparnasse, sous le regard espiègle de Gérard Rauber, Anne Baquet et Jean-Paul Farré ont uni leurs talents et leurs fantaisies pour rendre un hommage vivifiant à notre grand poète.