À l'Autre Scène de Vedène, le directeur du Festival d'Avignon signe un texte étourdissant de maîtrise. Un récit de science fiction dont la portée s'avère universelle.
Ce printemps, après une belle tournée en Europe, le comédien est de retour Salle Richelieu dans Hécube, pas Hécube de Tiago Rodrigues. Pensionnaire de la Comédie-Française depuis 2017, il trace un parcours singulier, entre mémoire intime, présence scénique et création cinématographique.
Éblouissante en mère tuant des fascistes dans la fresque dystopique de Tiago Rodrigues ou en guerrière des temps modernes contre le sexisme ordinaire dans Black Lights de Mathilde Monnier, la comédienne portugaise passe d’un projet à l’autre avec une aisance confondante. Une présence magnétique !
En répétition à la Comédie-Française, le metteur en scène à la tête du Festival d’Avignon s'apprête à investir la Carrière de Boulbon pour faire résonner au présent la pièce d'Euripide.
Dans cette pièce accueillie au Théâtre Garonne à Toulouse, le metteur en scène lisboète défait la pièce de Shakespeare de son superflu pour n’en garder que l’essentiel : la parole et les amants.
Au Paradis de l’Athénée, Salle Christian-Bérard, l’ami et comédien fétiche de Tiago Rodrigues, Tónan Quito, attend désespérément le retour du metteur en scène, disparu un matin et plus jamais reparu.
Aux Bouffes du Nord, Tiago Rodrigues présente Catarina ou la beauté de tuer des fascistes, une dystopie prophétique qui résonne amèrement en ces jours noirs qui voient, dans plusieurs pays européens, les partis extrémistes aux portes du pouvoir.
L'Œil d'Olivier utilise des cookies pour vous offrir une expérience de navigation idéale sur notre site web. Si vous poursuivez votre visite, nous supposerons que vous en êtes satisfait·e·s !