Au théâtre de Grasse, avant une belle tournée en France, Issam Rachyq-Ahrad présente son premier spectacle en solo, une œuvre « feel good » qui bouge nos certitudes.
Au TGP, Avec "Les Suppliques", le Birgit Ensemble poursuit son travail de mémoire en mettant en lumière des périodes sombres de notre Histoire nationale.
En ouverture du Festival d’Avignon, Julie Deliquet, directrice du Théâtre Gérard Philipe à Saint-Denis, porte au plateau le chef-d’œuvre documentaire de Frederick Wiseman, Welfare. Transformant la cour d’honneur du palais des Papes en bureau d’aide sociale new-yorkais, elle signe un spectacle fragile, humain, dont l’intimité se perd sur l'immense scène à ciel ouvert.
Au Festival d'Avignon, David Geselson plonge dans l'histoire de L'Homme en quête de nos ancêtres néandertaliens.
Au TNP-Vileurbanne, François Hien porte au plateaul’affaire de la crèche Baby Loup de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines).
À la Comédie de Colmar, avant d'investir le Théâtre de l'Union, le TGP et la Comédie De Reims, Émilie Capliez, porte au plateau Des Femmes qui nagent de Pauline Peyrade.
Pour sa première venue dans le Festival, la compagnie Das Plateau donne une version sombre et cérébrale du Petit Chaperon rouge.
Au TGP, Julie Deliquet s’empare Huit heures ne font pas un jour, première série télévisée écrite par Rainer Werner Fassbinder.
Au TGP, Jean Bellorini met à l'honneur le travail de Georges Lavaudant.