Comme moi, vous avez vu qu’une foultitude de journaux de confinement apparaissent, phénomène prévisible s’il en est. Le jogging et l’écriture solitaire auront sans doute été les grands vainqueurs de nos retraites forcées. Cette floraison de chroniques quotidiennes, intimes, décalées, fanfaronnantes ou désespérées — j’en tiens une moi-même bien au
A la Colline, Alexandra Badea continue son devoir de mémoires et revient sur le massacre du 17 octobre 1961.