L’Occitanienne, autopsie d’une passion amoureuse

L’homme vieillissant, écrivain de surcroît, est bien sombre et taciturne. Pourtant, le sourire juvénile, le geste gracieux, le minois avenant d’une jolie aristocrate pourrait bien rallumer la flamme de ce cœur qui rêve de palpiter encore une fois, une dernière fois. C’est cet instant précis où la respiration s’emballe, où l’être aimé envahit les pensées que saisit Jean Périssé dans ce huis-clos amoureux un peu trop sage, un peu trop