À la tête du Quai CDN Angers Pays de la Loire depuis janvier 2024, après avoir dirigé pendant neuf ans la Comédie de Caen, le comédien et metteur en scène argentin est porteur d’un nouveau souffle où cohabitent fidélité, valeurs sûres et ouverture vers d’autres univers artistiques.
Dans le cadre du Festival d’Automne, l’auteure, dramaturge et performeuse brésilienne présente du 6 au 8 novembre à La Villette, A Noiva e o Boa Noite Cinderela, pièce uppercut qui avait secoué le Festival d’Avignon en 2023.
De L’assommoir à La Terre, la comédienne et metteuse en scène, codirectrice de la compagnie Nar6 aux côtés d'Alexandre Delawarde, fait résonner les textes de Zola au temps présent. Rencontre avec une artiste sensible avant le début d’une belle tournée sur les routes de France.
Du 5 au 8 novembre 2024, le chorégraphe et danseur libanais doit présenter au Théâtre de la Bastille The Love Behind My Eyes, troisième volet du triptyque Love. Actuellement à Beyrouth, il espère avec sa troupe arriver à Paris le 2 novembre. Rencontre avec un artiste sous les bombes.
Le temps d’un week-end, le metteur en scène à la tête du TNP-Villeurbanne présente Les Misérables, qu’il a adapté pour la troupe pékinoise du Yang Hua Theatre en janvier dernier. Une expérience inspirante qui débouchera l’an prochain sur un spectacle mêlant acteurs français et chinois.
En se glissant dans les mots de Marguerite Duras, sous la direction sur mesure de Jacques Osinski, la comédienne fait, après une dizaine d’années d’absence, un retour éblouissant sur les planches.
En partenariat avec le Festival d’Automne, le Centre Pompidou présente pour la première fois le travail étonnant et dérangeant de la chorégraphe américaine originaire de Saint-Domingue.
Au Théâtre 14, le comédien, metteur en scène et directeur du Théâtre Majestic – scène de Montereau s’attaque avec intelligence à ce délicat sujet d’actualité qu’est le suicide assisté. Un spectacle nécessaire !
En adaptant la pièce maudite du dramaturge russe, considérée comme une œuvre majeure de la Russie communiste, Stéphane Varupenne signe une galerie de portraits grand-guignolesques et peine à en donner toute la dimension politique.