Reprise cinq ans après sa création pour la compagnie nationale de danse contemporaine d’Ekaterinburg, cette pièce se révèle un bouleversant dialogue avec la musique du compositeur polonais.
La chorégraphe et anthropologue, fondatrice de la compagnie Sylex, nous convie à un voyage en adolescence, cette bouillonnante période de transition et de transformation.
À partir de leurs performances Sottobosco et Songs of the Wayfarer , les deux artistes handicapées Claire Cunningham et Chiara Bersani questionnent les rapports du corps à l’espace dans lequel il évolue.
Au Châtelet, l'artiste stéphanois signe la mise en scène de la nouvelle production en français de la comédie musicale la plus jouée au monde. Son objectif ? Faire de nouveau résonner cette histoire dans le cœur des spectateurs.
Au théâtre Silvia Monfort, la chorégraphe reprend cette pièce créée en 2021. Combinant avec brio les disciplines, la proposition nous plonge dans un huis clos mystérieux où les silences se brisent.
Présentée au festival Cadences d’Arcachon, avant l’Espace chapiteau de la Villette, cette revisite de l’opéra de Henry Purcell raffinée, mais sans réelle aspérité, peine à convaincre.
Au cœur du Panthéon, la chorégraphe donne vie à un amoncellement de corps reliés entre eux par un fil invisible. Contraints à la lenteur, les sept interprètes livrent une performance moins âpre qu’on ne l’imaginait.
Automne en création(s) s’est ouvert avec deux solos féminins des chorégraphes lituaniens Lukas Karvelis et Vilma Pitrinaitė. Un double programme enthousiasmant qui s’inscrit dans le cadre de la saison de la Lituanie en France.
À Saint-Denis, l’artiste argentine, découverte en Europe à la dernière Biennale de danse de Venise, précipite cinq interprètes dans une structure gonflable exiguë.